Au moyen âge, le linge est lavé à domicile, avec moult soins. Des marchands ambulants vendaient des cendres pour la lessive. Au XVIIème siècle, les lavandières vont battre à la rivière.

Les lavandières de la « Basse »,
A genoux devant le soleil,
Qui resplendit, disque vermeil,
Immobile dans l’eau qui passe,
Les lavandières en cheveux,
En fichus noirs ou coiffes blanches,
Vers le linge gonflé se penchent,
Ou, d’un geste sec et nerveux,
Abattent leur battoir qui claque,
Sur la pierre humide où se plaque
Le linge mou des caleçons.
Gaîment glougloute la rivière,
Et, dans l’eau pleine de frissons,
Le soleil rit aux lavandières…

Avec toute mon amitié...

Tendres années pour certains,frustrations pour les libertins...Pas question de courir le guilledou et de rencontrer un quelconque voyou. Les jeunes filles très sagement attendaient leurs prétendants, brodant  leur joli trousseau en rêvant de leur  Roméo...mais certaines règles existaient et personne n'y dérogeait. Subsistait un rituel pour conquérir la belle.

Il fallait que le prétendant demande l'accord des parents. Il pouvait être le bienvenu ou essuyer un sec refus...La majorité était à vingt et un an et sans l'accord de ses parents, la jeune fille, pour épouser son bien-aimé devait patiemment attendre sa majorité...la jeune fille devait être "sage" jusqu'au jour du mariage. Pas question de "fauter" ou c'était la porte assurée. On se souciait de l'honneur quelquefois plus que du bonheur...la morale et le respect prévalaient sur les sentiments  souvent ignorés...Époque révolue et bien désuète qui a cependant toujours ses adeptes...

Avec toute mon amitié...

La vie autrefois...

Il est difficile d'évoquer une autre époque, sans être accusé de passéiste... Pourtant, le passé sans être parfait aide à construire le futur....

Manèges et chevaux de bois...