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Par Chez Bianca le 4 Juin 2022 à 09:22
La terre est la seule planète de notre système solaire que l'humanité peut habiter confortablement. La terre est un paradis pour les créatures qui y vivent. Chaque espèce sur terre a sa place dans le cercle de la vie. Les êtres humains ont besoin de nourriture, de vêtements, d'abris pour survivre. Tous ces éléments sont fournis en quantité abondante sur terre.
Planète Terre
La planète Terre, ma maison, mon endroit préféré
Une anomalie capricieuse dans la mer de l'espace.
Planète terre, es-tu juste là, entrain de flotter sur un nuage de poussière?
Un globe mineur sur le point de se briser?
Un morceau de métal qui va rouiller?
Un morceau de matière dans un vide insensé?
Un vaisseau spatial solitaire, un gros astéroïde?
Froide comme un rocher sans teinte, tenue ensemble avec un peu de colle.
Quelque chose me dit que ce n'est pas vrai.
Tu es mon petit cœur, doux et bleu.
Ça t'intéresse? As-tu un rôle dans les émotions les plus profondes de mon cœur?
Tendre avec les brises, caressant et entier vivant avec la musique qui hante mon âme.
Dans mes veines, j'ai ressenti le mystère des couloirs, du temps, des livres d'histoire
Des chansons de vie de tout âge qui palpitent dans mon sang et ont dansé au rythme de la marée et du déluge.
Tes nuages brumeux, ton orage électrique, étaient des tempêtes agitées sous ma propre forme.
J'ai léché le sel, l'amertume, la douceur de chaque rencontre, de la passion, de la chaleur.
Ta couleur débordante, ton parfum, ton goût, ont ravi mes sens, au-delà de toute hâte.
Dans ta beauté, j'ai connu le comment du bonheur intemporel, ce moment de maintenant.
Planète terre, es-tu juste là en train de flotter sur un nuage de poussière?
Un globe mineur sur le point de se briser?
Un morceau de métal qui va rouiller?
Un morceau de matière dans un vide insensé?
Un vaisseau spatial solitaire, un gros astéroïde?
Froide comme un rocher sans teinte, tenue ensemble avec un peu de colle.
Quelque chose me dit que ce n'est pas vrai.
Tu es mon petit cœur, doux et bleu.
Ça t'intéresse? As-tu un rôle dans les émotions les plus profondes de mon cœur?
Tendre avec les brises, caressant et entier vivant avec la musique qui hante mon âme.
Planète Terre, douce et bleue, de tout mon cœur, je t'aime.
(Michael Jackson)Veillons à bien prendre soin de celle qui a été placée sous notre tutelle.
Avec toute mon amitié...
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Par Chez Bianca le 14 Octobre 2017 à 22:40
Les jours s’abrègent, l’eau qui court dans la vallée,
N’a plus ces joyeux bruits qui réjouissaient l’air,
Il semble que la terre, et frileuse et voilée,
À pas menus, menus,
Le bel automne est revenu.
Dans le brouillard, sans qu'on s'en doute,
Il est venu par la grande route,
Habillé d'or et de carmin.
Et tout le long de son chemin,
Le vent bondit, les pommes roulent,
Il pleut des noix, les feuilles croulent.
Ne l'avez-vous pas reconnu ?
Le bel automne est revenu.Le rouge-gorge
Le rouge-gorge est au verger ;
Ah ! qu’il est joli, le voleur ;
Il ne pèse pas plus que plume
Et le vent le balance à son gré
Comme une fleur ;
Ah ! qu’il est joli, le voleur de prunes.
Oiseau, bel oiseau d’automne,
Voici l’oseille qui rougit
Dans l’herbe,
Et la feuille du poirier jaune ;
Tout se couvre de pourpre et de vieil or superbe
Avant l’hiver gris.
Matin d’octobre
C’est l’heure exquise et matinale
Que rougit un soleil soudain.
A travers la brume automnale
Tombent les feuilles du jardin.
Leur chute est lente. On peut les suivre
Du regard en reconnaissant
Le chêne à sa feuille de cuivre,
L’érable à sa feuille de sang.
Les dernières, les plus rouillées,
Tombent des branches dépouillées ;
Mais ce n’est pas l’hiver encore.
Une blonde lumière arrose
La nature, et, dans l’air tout rose,
On croirait qu’il neige de l’or.Avec toute mon amitié...
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Par Chez Bianca le 17 Juin 2017 à 14:51
Je ne suis qu'un poète au fond de son jardin
En cette fin de jour, le ciel se paradise
De sillages légers brodés de mignardises
En papillons volés au soir incarnadin
Le crépuscule exulte et d'un geste soudain
Je m'offre un grand pastel sous le ciel qui s'irise
En croquant ce bonheur comme une gourmandise
Dans le rêve fervent d'un plaisir anodin
En robe de damas, l'heure de plénitude
Etend sa traine d'or en toute quiétude
Et moire l'horizon de tons à l'infini
Je reprends mon parcours comme un chemin de ronde
Je hume la langueur de ce monde béni
Et dans ce paradis mon âme vagabondeÉté, violon rouge, nuage clair, un vrombissement de scie ou de cigale te précède, et sous son regard du ciel infini, marchant sur le sable, rayon par rayon, le soleil céleste, brûlent les semailles, crisse le blé, insectes bleus cherchent ombre, touchent la fraîcheur. Oh été abondant, charrette de pommes mûres, bouche de fraise dans la verdure, lèvres de prune sauvage, chemins de légère poussière, midi, tambour de cuivre rouge, et le soir repose le feu, l'air fait danser le trèfle, une étoile fraîche dans le ciel sombre, crépite sans brûler la nuit d'été.
Avec toute mon amitié...
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Par Chez Bianca le 12 Mai 2017 à 09:37
Voyage de lumière, de douceur, et de tendresse en une caresse à l'intérieure des tensions où les enveloppes s'ouvrent pétales après pétales afin de laisser jaillir en un doux filet une source de larmes joyeuse et silencieuse de ce feu d'amour embrasant les cellules avec la délicatesse de la rosée se transformant en océans multiples et Un où l'Amour se rencontre dans son propre miroir à la découverte de l'abandon dévotionnel d'une danse de lumière où les frontières disparaissent dans la sérénité.... très pure....Merci Pour Mère Terre...et ses vies....visibles et invisibles!
Avec toute mon amitié...
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Par Chez Bianca le 21 Mars 2017 à 18:23
L'aube naissante se profile à l'horizon.
La forêt rêve encore, enveloppée d'un manteau de gouttes de rosée.
A l'est, l'occident s'embrase sous les assauts de l'astre flamboyant.
Les nuages deviennent roses, pourpres, luminescents.
Tu te lèves à présent sous la forme d'un globe incandescent, dessinant un paysage pâle et des zones de lumières matinales.
La chouette effraie vient de se cacher aux creux du vieux troène.
Un murmure couvre le silence, le cours d'eau bruit, la cascade chuchote. Les appels fusent de l'orée aux clairières.
Sous le couvert du cèdre centenaire, les écureuils s'ébattent à l'abri des regards perçants.
Les oiseaux s'interpellent et clament leur joie en trilles et vols frénétiques.
Un frémissement parcourt la végétation jusqu'au moindre brin d'herbe.
La nature exulte et chante de bonheur car l'instant féerique approche.
La Terre reçoit maintenant le baiser du soleil et le printemps sourit à l'hiver qui se meurt.
Branches aux nues, feuilles au vent, des milliards d'arbres, toutes racines confondues tressaillent d'allégresse sous la montée de la sève.
Débordants de vitalité, les mélèzes font résonner leurs troncs sur la note fa dièse. Les sycomores entonnent des sons de cors.
Des voix flûtées émanent des hêtres discrets.
Ce n'est qu'un concert libre et spontané, émouvant de vigueur, pur et champêtre.
Tous célèbrent à leur façon l'aurore nouvelle.
Notre présence sur cette planète sacrée n'a-t-il pas pour but d'adorer le Divin qui rayonne et révèle une de ses facettes par le jeu des saisons?
Une vague d'énergie anime notre temple intérieur et l'émoi nous étreint.
Le Cosmique nous parle son langage universel.
Prenons conscience de cet appel vibrant!
Laissons-nous emporter par ce flux vivifiant!Avec toute mon amitié...
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